Le surinvestissement dans le travail : pourquoi certaines personnes n'arrivent pas à ralentir
En tant qu’ancienne « workaholic », j’ai pu observer que mon rapport au travail changeait au fur et à mesure de ma transformation intérieure.
Ce rapport avait été dans le passé d’autant plus souffrant pour moi que ma conscience ne se leurrait pas sur le côté pathologique de la chose sans que j’arrive pour autant à le transformer.
Par ailleurs, combien de personnes ai-je entendu me dire qu’elles travaillaient trop sans pour autant pouvoir s’arrêter ?
C’est mon expérience personnelle ainsi que mon expérience de thérapeute que je vous livre ici à un moment de ma vie ou j’ai retrouvé l’équilibre entre ma vie personnelle et professionnelle, même si il y a bien sûr des ponts entre les deux !
J’ai eu la chance d’avoir pu recevoir un enseignement en psycho-pathologie qui, non seulement n’était pas enfermant, mais qui permettait aussi de mettre des mots sur des noyaux en nous qui pouvaient nous limiter.
J’ai alors pu comprendre que chacun de nous avait une structure : névrotique, état-limite (borderline) ou psychotique et que nous avions par contre tous un noyau de chaque en nous.
C’est ces noyaux que j’aimerais vous présenter ici avec les angoisses associées sous l’angle de leur rapport avec le travail.